Alborz 4 et Caspienne bis

Rastak : "Sanin yadgarin" (album Miane Khorshidhaye Hamishe)

La végétation change vite en descendant vers la Caspienne La végétation dans la région du Mazandaran devient de plus en plus verte et épaisse à mesure qu'on s'approche de la Caspienne.

Température et hygrométrie varient beaucoup lors de ce parcours.

Mazandaran. Un peu en amont de Kyasar. En 2 ou 3 journées de vélo, on passe du désert à une forêt touffue et même aux rizières.

Mazandaran. Près de Sari (côte Caspienne)

L'Iran importe une bonne partie de son riz d'Inde, mais le riz des bords de la Caspienne, plus parfumé et plus fin, est très apprécié des gourmets iraniens, et des gourmets cyclotouristes aussi, bien sûr.

Approche de la côte Caspienne. Rizières peu avant Sari.

Damavand (5630m) vu de Téhéran, un matin sans smogg Entre l'effet de la Caspiennne et celui de l'altitude, j'ai souvent des écarts de 20 degrés au cours d'une même journée. Y compris avec un bel exemple d'inversion en descendant de Kyasar (1200m, 33°C à 11 h du matin) à Sari (bord de mer brumeux, 16°C deux heures plus tard).

Mon 4ème passage de la ligne de partage des eaux Caspienne / Golfe Persique, je l'ai fait dans un bus Sari - Téhéran, et en grande partie de nuit. Je n'ai donc pas vu de près le Damavand, point culminant de l'Iran, que j'avais aperçu depuis Téhéran un matin où l'air était plus clair que d'habitude.

Annexes

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