Arrivée à Téhéran

Siavash Ghomayshi : "Tehran"

Téhéran. Voies express vues du parc Ob-e Atash

Pour éviter les voies express monstrueuses (enfin, pour un vélo) de Téhéran, j'ai pris un bus à Karaj, à une quarantaine de km de Téhéran ; puis un taxi du terminal Azadi jusqu'à l'immeuble de mon hôte, une Iranienne que j'avais rencontrée à Abyaneh l'an dernier.

Téhéran Elahyeh

C'était en fait un autocar longue distance dont une partie des passagers sont descendus à Karaj ; le conducteur m'a proposé de prendre gratuitement une des places libres. Mais à mi-chemin, sur l'autoroute 2x5 voies, le bus est tombé en panne. Les passagers sans vélo ont tous fini leur trajet en stop pendant que le chauffeur et son assistant changeaient la courroie de distribution.

Téheran. Bagh Ob e atash

Pour entrer dans Téhéran, j'avais donc le bus "VIP" Peyman Iran, son chauffeur Reza et son assistant Hamid pour moi toute seule. Ils m'ont servi le thé à bord et ont discuté le prix du taxi pour moi à l'arrivée.

Quartiers nord de Téhéran. La montagne toute proche est encore enneigée.

Téhéran n'est que la dernière des capitales d'Iran, après Persepolis, Suse, Hamedan, Shiraz, Tabriz, Ispahan, Mashhad, Nishapur, Ardabil et j'en oublie sûrement. Mais c'est devenu une ville énorme sillonnée par des voies express. J'abandonnerai mon vélo dans le garage de mon hôte. Et moi, je crèche au 6ème étage d'une tour assez chic dans les quartiers nord.

Au menu des jours qui viennent : corvées administratives. Je dois prolonger mon visa iranien (le temps passe vite en voyage...), puis obtenir mes visas ouzbek et turkmène.

Annexes

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